
Propriété de l’État, inscrit au titre d’objet depuis le 4 juillet 1997, ce tableau est une peinture à l’huile sur un seul lé de toile, dans un cadre à onglets, en bois mouluré, alternativement doré sur apprêt de plâtre et peint en noir. C’est le portrait du maréchal comte Bertrand CLAUZEL, vu un peu de trois quarts, le regard légèrement tourné vers le spectateur. Le tableau rectangulaire vertical mesure 1,47 x 1,09 m sans le cadre, 1,79 x 1,38 m avec le cadre.
L’angle inférieur senestre donne deux précisions sous forme de signature : « C. Bertrand, d’après Champmartin ». Caroline BERTRAND, qui signe aussi de son nom de jeune fille, DESFORGES, a le statut de copiste auprès du musée historique de Versailles. Entre 1870 et 1890, elle exécute de nombreuses répliques ou copies de tableaux religieux ou officiels, qui sont ensuite achetées par l’État et déposées un peu partout en France, dans des églises ou bâtiments publics. Ce portrait du maréchal comte Bertrand CLAUZEL est une copie partielle d’un portrait en pied plus grand que nature, commandé en 1835 par Louis-Philippe 1er à Émilie CALLANDE de CHAMPMARTIN, pour le musée historique de Versailles¹. Ce portrait de 1835 (2,15 x 1,40 m.) est déjà une copie d’un portrait en pied, exécuté par le même peintre, en 1833, pour la Salle des maréchaux du palais des Tuileries².
Il existe d’autres portraits de Bertrand CLAUZEL : toujours à Versailles, une aquarelle de 1792, signée de ROUGET, montre le jeune capitaine au 43° de ligne du régiment des vaisseaux, en pied, « d’une taille ordinaire, mais avec une carrure physique, signe expressif de la solidité de cette nature martial³. » Un autre portrait, en pied, le montre assis sur un rocher, jambes allongées devant lui, un document roulé dans sa main gauche. Le peintre est Ary SCHEFFER. Selon l’abbé Henri Louis DUCLOS, c’est le meilleur portrait de Bertrand CLAUZEL, « qui exprime cette intensité d’affirmation qui distinguait le maréchal et révèle la grande consistance dont son âme se montra douée, dans les conjonctures les plus difficiles pour un soldat⁴. » Selon des signalements administratifs⁵, Bertrand CLAUZEL était grand (plus d’1,74m), avait le front haut, les cheveux bruns, les yeux gris, la bouche moyenne, le menton rond, le visage plein. Sa vie durant, il était rasé, mais portait des favoris selon l’usage du temps.
La copie commandée à Caroline BERTRAND en 1880 est déposée par décision ministérielle du 14 juin de la même année⁶. Le cartel fixé au cadre précise « Donné par l’État. 1881 ». Dans ce tableau, Caroline BERTRAND a choisi de ne pas représenter le sujet en pied, et d’arrêter le portrait à mi-cuisse, comme elle a choisi de ne pas représenter le sujet en pied, et d’arrêter le portrait à mi-cuisse, comme elle a choisi de ne reproduire ni le siège pliant, ni la table de campagne, qui figurent dans les portraits d’Émilie CALLANDE de CHAMPMARTIN. Le portrait perd en réalisme et devient image d’apparat. « Les œuvres commandées sous la monarchie de Juillet répondent aux critères attendus d’un art officiel soumis à l’idéologie royale, exposant la gloire militaire⁷. »
→ Posture, tenue et distinctions
À l’exception des regalia et d’un décor identifiable, ce(s) portrait(s) de Bertrand CLAUZEL (original et copie d’Émilie CALLANDE de CHAMPMARTIN en 1833 et 1835, copie de Caroline BERTRAND en 1880) présente(nt) des similitudes avec celui de Louis Philippe 1er, peint par Franz Xavier WINTERHALTER en 1841. La posture est la même, et tous deux portent l’uniforme de lieutenant général, avec culotte rouge et habit noir de grande tenue à neuf boutons dorés, collet droit brodé d’or. La tenue se complète d’une paire de gants blancs, d’un bicorne de feutre noir, bordé ou sommé de plumes blanches, orné d’une cocarde tricolore, comme celui de Louis-Philippe 1er tient contre lui, de la main gauche. Sur le bicorne ne figure pas, mais il est posé sur le siège pliant dans le tableaux d’Émilie CALLANDE de CHAMPMARTIN.

La présentation en uniforme militaire est une image d’apparat et d’autorité, qui met en scène aussi bien les souverains que les membres de l’ancienne noblesse et de la noblesse d’Empire, rappelant le lien originel entre noblesse et métier des armes. Bertrand CLAUZEL arbore l’écharpe de moire rouge de Grand Croix de la Légion d’Honneur, l’étoile de chevalier de l’Ordre de Saint-Louis reçue le 1er juin 1814 et l’étoile en or de la Légion d’Honneur pour les officiers, suspendue à son ruban rouge. Fait chevalier et officier de la Légion d’Honneur le 25 mars 1804, commandeur le 14 juin 1804, Grand Officier le 17 juillet 1809, Bertrand CLAUZEL est fait Grand Cordon⁸ le 14 févier 1815⁹.
→ Décor
Des tableaux d’Émilie CALLANDE de CHAMPMARTIN à la copie de Caroline BERTRAND, le décor s’est épuré. Le sujet n’est plus environné du décor de sa tente de campagne, avec siège, table et lit pliants, posés sur un tapis. La copiste choisit d’évoquer, en arrière-plan, la tente et le lit de camp, en quelques traits sobres et légers.
→ Arme et symbole, l’épée
Dans son portrait par Caroline BERTRAND le maréchal comte Bertrand CLAUZEL pose sa main gauche dégantée sur le pommeau de son épée. À la fois arme et symbole de sa longue carrière militaire, l’épée est citée dans la plaidoirie que son propriétaire présente au gouvernement français pour se défendre des accusations portées contre lui, du fait de l’échec de son second séjour en Algérie. Son ami Melchior Frédéric SOULIÉ lui a offert ce texte brillant, qui n’est pas la défense de quelqu’un qui est ou serait coupable, mais un avertissement adressé aux jeunes généraux : ils ne doivent rien attendre des autorités supérieures et gouvernementales, quels que soient leur courage, leurs actions, leurs qualités.
« Aussi je puis vous le dire, à vous, jeunes généraux qui rêvez la reconnaissance de votre pays pour avoir joué votre vie en toute circonstance pour lui : voici ce qui vous attend, si jamais les circonstances vous offrent l’occasion de faire ce que j’ai fait. […] Oh ! Je l’avoue, quand je suis revenu en France d’Alger, j’ai été affreusement blessé de tout ce j’ai appris. […] J’ai été triste, mais je n’étais pas désespéré.
J’avais encore mon épée : on me l’a ôtée, autant qu’on pouvait me l’ôter; on a laissé une carrière de victoires trébucher sur un revers sans vouloir lui laisser prendre un dernier laurier; on a pensé sans doute que j’étais assez tombé pour m’empêcher de me relever. Non, non, je me relève, moi. Je me relève pour rentrer la tête haute dans mes foyers! Je me relève! Et sur le seuil de cette maison paternelle où je retourne, je poserai entre moi et la calomnie ma vieille épée de combat. Regardez-la bien : elle n’a ni diamants à sa monture, elle n’a que du sang sur sa lame: c’est le sang des ennemis de la France(10). »

→ Bertrand CLAUZEL (Mirepoix, 12 décembre 1772 – Cintegabelle, 21 Avril 1842)
Né à Mirepoix, pendant le règne de Louis XV, le 12 décembre 1772, mort à Cintegabelle dans sa propriété du Secourieu, sous la Monarchie de Juillet =, le 21 Avril 1842, Bertrand CLAUZEL vit soixante-dix ans d’une existence active et multiple(11).
Énumérer ses batailles et les étapes de sa carrière militaire pourrait sembler fastidieux. Son cursus honorum est jalonné de titres et promotions : baron CLAUZEL et de l’Empire (lettres patentes du 11 juin 1810) et donataire de l’Empire, puis comte CLAUZEL (ordonnance du 31 décembre 1814), sous-lieutenant au régiment Royal vaisseaux (14 octobre 1791), chef de bataillon (5 avril 1794), colonel-chef de brigade (22 juillet 1795), général de brigade (5 février 1799), général de division (18 décembre 1802), maréchal de France (27 juillet 1831), pair de France (2 juin 1815), député de l’Ariège (1827-30), des Ardennes (1831-35), Grand Cordon de la Légion d’Honneur, chevalier de Saint-Louis…
Son nom figure sur le flanc ouest de l’Arc de Triomphe(12), les batailles auxquelles il a participé sont inscrites sur le tombeau familial à Mirepoix. Cette partie de la vie du maréchal comte Bertrand CLAUZEL se trouve dans les dictionnaire historiques et les livres d’histoire. Un témoignage subjectif pourrait-il apporter un autre éclairage ?
→ « Souvenirs de la vie du maréchal Clauzel »
Au dos de ce petit livre relié en cuir rouge, figure le titre en lettres dorées, « souvenirs de la vie du maréchal Clauzel(13) ». Rédigés au Vésinet, ces souvenirs sont racontés « par une grand-mère à ses petits-enfants », et cette grand-mère est la comtesse Aglaé Alexandrine Joséphine PLANTADE, épouse de Gabriel Bruno Jean Henri CLAUZEL, fils de Bertrand CLAUZEL e Henriette ADAM. La mémorialiste choisit de rédiger une biographie élogieuse pour instruire et édifier les arrière petits enfants du maréchal comte Bertrand CLAUZEL.
Elle parcourt sa carrière : engagé comme lieutenant dans le régiment royal du vaisseau, envoyé à l’armée des Pyrénées remarqué par le maréchal PÉRIGNON, ambassadeur à la cour d’Espagne, qui l’emmène avec lui à l’ambassade, capitaine à la Légion nationale des Pyrénées, puis chef de bataillon, Bertrand CLAUZEL devient général de brigade en 1798, date exceptionnellement précisée par la comtesse.
Après sept ans de services à peine, le jeune officier est chargé par l’empereur de négocier l’abdication du roi de Sardaigne, tâche dont il s’acquitte avec une diplomatie que remarque le souverain : Bertrand CLAUZEL permet en effet à Charles Emmanuel IV de fuir, habillé en cocher. En remerciement, le roi lui donne à choisir un tableau de sa galerie personnelle, et ce sera « la femme hydropique(14) » de Gérard DOW. À propos de ce choix, la comtesse Aglaé CLAUZEL s’autorise une critique à l’égard de son beau-père : elle lui trouve piètre goût en peinture et aurait préféré une toile comme celle de Bartolomeo MURILLO, rapportée en France par Nicolas Jean-de-Dieu SOULT … Dès 1799, Bertrand CLAUZEL offre « La Femme Hydropique » au Musée français qui deviendra le Louvre. C’est le premier don véritable fait au musée.
La comtesse Aglaé CLAUZEL poursuit un récit personnel de la carrière du jeune général de division, envoyé en mission à Saint-Domingue. Elle souligne qu’il devient commandant de province des Cayes. Il est accueilli dans la famille de deux jeunes filles, déjà veuves à quinze et seize ans : leur époux ont été assassiné le même jour, au cours du massacre de la Crête-à-Pierrot. « Une des deux, remarquablement belle, plut au jeune général ». Ainsi la comtesse CLAUZEL raconte-t-elle la rencontre entre Bertrand CLAUZEL et Marie Henriette ADAM.

Accompagnés de la mère de la jeune femme, les fiancés embarquent pour New-York mais une tempête leur fait faire naufrage sur les côte de Floride où ils survivent en se nourrissant de crabes que le jeune homme tue de son épée. (lorsque l’empereur lui proposera d’être anobli, Bertrand CLAUZEL choisira de faire figurer dans ses armoiries « trois crabes les tenailles vers le haut », un pour Henriette ADAM, un pour la mère de la jeune femme et un pour lui-même). Arrivés à New-York, les fiancés peuvent se marier(15).
→ Que de voyages ! Que de combats ! Que d’aventures(16) !
Outre sa carrière militaire et ses missions, outre sa vie de famille, l’ensemble étant connu, Bertrand CLAUZEL s’est aussi adonnée avec intérêt à l’agriculture dans sa propriété du Secourieu (Haute-Garonne), à l’élevage de moutons mérinos dans sa métairie du Capitaine (Aude), et à l’industrie du fer dans ses forges de Quillan (Aude).
Cet intérêt est né pendant son séjour en Alabama et en Louisiane, où il vit son exil de 1816 à 1820. Pour son temps, Bertrand CLAUZEK est un physiocrate.
Avec son fils Bertrand, il considère que les moutons mérinos sont la race qu’il convient de préserver et développer. Tous deux s’y emploient sur les terres du Capitaines, près de Plaigne. En 1827, « MM. CLAUZEL père et fils(17) » ont déjà près de cent brebis, auxquelles ils ajoutent « quarante-neuf brebis superfines et deux béliers qui avaient servi d’étalons aux bergeries de Naz ». Bertrand CLAUZEL et son fils achètent encore une cinquantaine de têtes, considérant un troupeau comme un établissement de commerce et voulant à tout prix préserver dans sa supériorité « la race mérine » originelle.
Pour la qualité des laines qu’ils présentent, tous deux reçoivent une médaille d’argent à l’Exposition de l’industrie de Toulouse, puis une médaille d’or en 1829 pour une pièce de drap de laine noire d’une finesse exceptionnelle(18).
Propriétaire de Terride et des Cordeliers à partir de 1811, Bertrand CLAUZEL se rend aussi acquéreur des Forges de Quillan, vendues par M. VARNIER, président du canton(19). Toujours avec l’aide de son fils Bertrand, le maître de forges Bertrand CLAUZEL les transforme en un vaste complexe industriel. « Ces établissements se composent de forges à la Catalane, d’un moulin à foulon et d’une scierie. M. VARNIER fit une percée de 163 mètres dans la montagne […] La rivière Aude arrive donc en partie dans cet établissement, où non seulement elle fait mouvoir toutes les machines que l’on y met en usage, mais en outre elle sert aux trompes qui font aller la fonte et les forges(20) ».
En 1842, à la mort de Bertrand CLAUZEL, le domaine des Forges de Quillan devient la propriété du comte Albert de LA ROCHEFOUCAULD.
→ Bertrand CLAUZEL dans sa ville natale

Au cours de deux séances (4 août 1861 et 18 août 1895(21)), des conseils municipaux émettent « le vœu qu’une statut en bronze soit élevée sur la grande place de Mirepoix à la mémoire d maréchal CLAUZEL », les frais devant être couverts par une souscription nationale et un financement municipal. Ce projet ne voit jamais le jour.
Outre le portrait peint par Caroline BERTRAND, on peut voir en cette même salle le buste en marbre blanc de Bertrand CLAUZEL, sculpté en 1895 par « Émilie DEBOULET statuaire(22) ». Cette œuvre, propriété de l’État, déposée en mairie de Mirepoix par décision d’attribution du 28 juillet 1964, et inscrite au titre d’objet auprès des Monuments historiques depuis le 4 juin 1997, a été restaurée en 2003.
Sur la maison familiale, maintenant située rue Clauzel(23), une plaque de marbre rappelle : « cette maison l’ancienne rue des Pénitents Bleus a appartenu à Gabriel CLAUZEL 1735/1804 Drapier. Maire de Mirepoix sous la Révolution. C’est ici qu’est né son fils Bertrand CLAUZEL Maréchal de France 1772/1842 ».
Le maréchal CLAUZEL avait fait inhumer ses parents dans sa propriété des Cordeliers, près de la Fontaine. Son épouse Marie Henriette ADAL et lui-même y furent inhumés aussi. Ce tombeau fut transféré au « cimetière du Sautadou » le 15 novembre 1858, à la demande particulière de Gabriel Pierre Marie Edmond CLAUZEL et de la famille. Antoine Benoît VIGAROZY, ami de Bertrand CLAUZEL et son aide de camp, prononça l’éloge funèbre. Sur l’emplacement concédé à perpétuité en 1857, le mausolée de marbre blanc donne à voir tout à la fois la gloire militaire et la mémoire familiale.
Martine ROUCHE,
Guide Conférencier
- Inv. 3196, LP 1755.
- www.pop.culture.gouv.fr
- Duclos (H. L), Histoire des Ariégeois, Militaires de’ l’Ariège Toulouse, Soubiron frères, 1883, tome 2, p. 151.
- Duclos (H. L), op. cité.
- Clauzel (G.), Bertrand Clauzel, maréchal de France (1772-1842), In Archistra, juin 1973, p. 51-61.
- Inv. 128.
- Bajou (V.), conservateur en chef au musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, Un nouveau dessein pour Versailles, in www.lescarnetsdeversailles.fr
- L’expression « Grand Cordon » a succédé à « Grand Aigle » à partir du 19 juillet 1814, et devient « Grand Croix » par ordonnance royale du 26 mars 1816.
- www2.culture.gouv.fr, Base Léonore, dossier LH/545/29.
- Soulié (M.F). Explications du Marechal CLAUZEL sur sa conduite en Algérie, par lui-même, Paris, Ambroise Dupont & Cie éditeurs, 1837.
- Naissance : AD09, Mirepoix, 1NUM/3E 125/3, BMS, 1768-1778, vue 95/227.
- Décès : AD31, Cintegabelle, 2E IM2690, 5E14,NMD, 1841-1843, vue 91/239.
- Pilier ouest (165 noms), colonne 34, première ligne. 660 noms en tout sur les quatre piliers.
- AD09, 8° 885, Clauzel (A), Souvenirs de la vie du maréchal CLAUZEL, Paris, imprimerie générale A. Lahure, 1888, 80 pages.
- Huile sur bois, 1663. Musée du Louvre.
- 13 nivôse an XII [4 janvier 1804]. AD09, Lavelanet, 1NUM/4E 1777, mariages, an XI-1830 vue 26/293.
- Voir 1. Biographies nouvelles des contemporains, ou dictionnaire historique et raisonné de tous les hommes qui, depuis la Révolution française, ont acquis de la célébrité, ouvrage collectif, Paris, 1823, tome X, p. 457-467. 2. Durrieu (M-A.), Bertrand Clauzel, général de Napoléon, Fontenay-le-Comte, 2012.
- Tessier (M.) et Bosc (M.), Rapport de M. de Mortemart-Boisse sur le troupeau de mérinos de Capitaine, appartenant à MM. Clauzel père et fils, in Annales de l’agriculture française, Paris, 1828, tome XLIV, p. 345-350.
- Durrieu (A-M.), opus cité, p.158.
- Delpech (R.), in Quillan information, juillet 1974. http://quillan.chez.com/laforge.htm
- De Serres (M.), in Mémoires de la société royale des sciences, de l’a
- AM Mirepoix, D135 (délibérations municipales 1859-1880) et D137 (1889 – 1895). Déposées le 4 juillet 2012 aux archives départementales de l’Ariège.
- Deboulet Émilie, né à Strasbourg le 24 septembre 1964, mort à Paris le 11 novembre 1901. (MR)